L’année 2018 a été marquée par la dénonciation, parfois virulente, de pratiques qualifiées de “violences gynécologiques et obstétricales”. Sous ce dénominatif se retrouve une grande variété d’actes et de comportements, regroupant :
Cette série d'entretiens donne donc la parole à des professionnels de la santé comme "témoins" de ce sujet mais aussi à des juristes et représentants liées aux patients et professions concernées.
Ainsi, dans cette vidéo, c'est Chantal Birman, sage-femme militante du droit des femmes, qui nous livre son point de vue. Elle prend une place importante depuis le MLAC jusqu’au droit des sages-femmes, en cours aujourd’hui, dans la pratique de l’IVG. Dans sa pratique à la maternité des Lilas et en libérale, elle convoque le « tabou de la Maternité » et montre qu’aujourd’hui une femme enceinte, quel que soit son choix d'interrompre ou poursuivre sa grossesse, est socialement, émotionnellement et culturellement piégée.
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